1555-2006. D’un livre de raison à l’Internet... |
Lencquesaing |
V. Dominique-Jean-Jacques de Lencquesaing, écuyer, seigneur de Laprée, né le 7 janvier 1706 entre dix heures et onze heures du matin et baptisé en l’église Saint-Pierre. Il eut pour parrain Jean-Baptiste-Dominique-Joseph Rogier, seigneur d’Houdainville (le mot écuyer n’est pas écrit), son grand-père du côté maternel, et pour marraine dame Marie-Anne-Thérèse Durietz, veuve de Jean-Jacques de Lencquesaing, sa grand-mère du côté paternel. Il épousa par contrat passé au château de Molpas à Mérignies le 25 septembre 1733, et religieusement le 28 en la chapelle dudit château, Marie-Joseph-Eugénie Dupuich, née le 16 mai 1709 et baptisée le 18 en l’église Sainte-Croix de Béthune, fille de Jacques-François, écuyer, seigneur de Mesplau, secrétaire du roi au parlement de Tournai, et de Marie-Eugénie Dubois (de Sebbe). Elle eut pour parrain Jacques-François Damiens, écuyer, seigneur de La Ferté, lieutenant général des ville et gouvernance de Béthune, son bel oncle du côté paternel, et pour marraine Isbergue-Eustachienne Dubois, au nom de dame Dubois, abbesse de Marquette, sa grand-tante du côté maternel. Elle était la fille de Jacques-François Dupuich, écuyer, seigneur de Mesplau, secrétaire du roi au parlement de Tournai, et de Marie-Eugénie Dubois de Sebbe et de Chocques. Elle mourut au château de Laprée le 13 décembre 1748 et fut enterrée dans le chœur de l’église paroissiale de Quiestède, du côté de l’Evangile. Dominique-Jean-Jacques de Lencquesaing acheta de Louis de Beauffort le 5 janvier 1760 la charge de grand bailli d’épée de Saint-Omer et la rendit héréditaire dans sa famille. Il mourut au château de Laprée le 28 octobre 1776 et fut enterré en la chapelle du seigneur en l’église paroissiale de Quiestède.
De ce mariage naquirent huit enfants :
1. Louis-Dominique-Eustache, qui suit.
2. Eugène-Lamoral, né le 6 août 1735 entre neuf et dix heures du soir et baptisé le 8 en l’église Sainte-Aldegonde de Saint-Omer. Il eut pour parrain Eugène-Lamoral Dubois, écuyer, seigneur de Chocques, son grand-oncle du côté maternel, et pour marraine Catherine-Thérèse Doresmieulx, son arrière grand-tante du côté paternel, fille d’Edouard-Antoine, écuyer, seigneur du Rat et de Monnicove, et de Louise-Fernande Durietz. Il mourut vraisemblablement des suites d’une opération de l’hydrocèle (pratiquée par le chirurgien lillois Leco) chez son parrain, au château de Molpas à Mérignies, le 7 août 1753 à une heure et demi de l’après-dîner et fut enterré le 8 dans l’église de Mérignies, vis-à-vis la chapelle de Notre-Dame, « aÿant souffert une longue maladie avec tous les sentiments d’un parfait chrestien requiescat in pace amen ».
3. Marie-Louise-Joseph, née le 19 mai 1737 à cinq heures de l’après-dîner et baptisée le même jour en l’église Sainte-Aldegonde de Saint-Omer. Elle eut pour parrain Jacques-Joseph-Alexandre Doresmieulx, écuyer, seigneur de Monichove et de Fouquières, son cousin, pour et au nom d’Antoine-François-Joseph Dupuich, écuyer, seigneur de Mesplau, capitaine au régiment de la marine, son oncle du côté maternel. Elle eut pour marraine Marie-Anne-Louise de Lencquesaing, épouse de Maximilien-Joseph Depan, écuyer, seigneur de Wisques, sa tante du côté paternel. « Au mois de maÿ 1747 ma ditte fille a ester confirmer dans la chapelle de monsieur l’evecque de st omer. » Elle épousa le 26 août 1755 en la chapelle du château de Laprée Charles-Louis-François de Lencquesaing, écuyer, seigneur d’Humetz, capitaine au régiment de Royal Wallon, chevalier de Saint-Louis et mayeur d’Aire, son oncle à la mode de Bretagne, veuf en premières noces d’Elisabeth-Catherine de Mérault. Il est le fils de Charles-Ignace-Joseph, écuyer, seigneur de Coquanne, capitaine de cavalerie au régiment de Marnay, major des carabiniers, chevalier de Saint-Louis, et de Marie-Thérèse Lochtembergh. Dont postérité.
4. Marie-Thérèse-Eugénie, née le 4 juillet 1738 à cinq heures et demi du matin et baptisée le 6 en l’église Saint-Denis de Saint-Omer. Elle eut pour parrain Eugène-Joseph Dupuich, écuyer, seigneur d’Auchel, sous-lieutenant aux Gardes Wallonnes en Espagne, son oncle du côté maternel, et pour marraine Marie-Thérèse Lochtembergh, veuve de Charles-Ignace-Joseph de Lencquesaing, écuyer, seigneur de Coquanne, major des carabiniers, sa belle grand-tante du côté paternel. Elle mourut à Lille le 14 juillet 1751 à une heure après minuit en la maison de la Noble Famille et fut enterrée dans la chapelle de cette maison, après cinq jours de maladie, un très violent mal de gorge et une très forte fièvre.
5. Marie-Charlotte, née le 3 août 1739 à six heures du matin et baptisée le 4 en l’église Saint-Denis de Saint-Omer. Elle eut pour parrain Nicolas-Bonaventure Dupuich, prêtre, son oncle du côté maternel, et pour marraine dame Marie-Charlotte-Joseph Malet de Coupigny, épouse d’Antoine-François-Joseph Dupuich, écuyer, seigneur de Mesplau, capitaine au régiment de la Vieille Marine, sa tante du côté maternel. Elle épousa à Lille par contrat du 6 avril 1771 passé par devant le notaire royal Legrand, François-Dominique Le Caron, écuyer, seigneur de Canettemont, Sains en Ternois, Burgaland et autres lieux, mousquetaire de la première compagnie de la garde du roi (15 août 1757-31 mars 1769) (Vincennes, YB69), né à Arras et baptisé en l’église Sainte-Croix le 27 août 1740, mort à Arras le 27 septembre 1800, fils de Philippe-Marie-Dominique ( ? – 1746), écuyer, seigneur desdits lieux, et de Marie-Françoise Leduc. Elle mourut à Arras le 12 février 1805. Dont plusieurs enfants morts en bas-âge et : Marie-Françoise Leduc est la fille de messire Ignace-François, chevalier, seigneur de Manny Saint-Pierre, chef du magistrat de la ville de Mons, et de dame Marie-Françoise Hardy de Famars. Elle a épousé en premières noces par contrat à Valenciennes le 2 septembre 1729 messire Pierre-Antoine Demares de Grainville (?-v.1737), seigneur de Saint-Oven, fils de feu messire Adrien Demares de Grinville, député de l’Etat noble du pays et comte de Hainaut, et de dame Marie-Antoinette-Thérèse Le Francq.
Postérité : trois enfants. 1. Dominique-Joseph (6 juillet 1778 - 10 juillet 1778). 2. Charles-Louis-Joseph, qui suit. 3. Marie-Joséphine-Charlotte (Arras (Sainte-Croix), 30 septembre 1782 - ?).
2. Charles-Louis-Joseph Le Caron de Canettemont (Arras, 13 décembre 1779 - 29 mars 1837 ou 1839) (inhumé au cimetière d’Arras). Il épousa le 11 novembre 1801 à Tournai Louise-Charlotte Boudart de Couturelle, née le 29 décembre 1780 (Arras, paroisse Saint-Nicolas en l’Atre), décédée le 27 février 1838 à Arras, fille de Charles-Joseph, chevalier, seigneur de Couturelles, chevalier de Saint-Louis, chambellan du prince Electeur palatin de Bavière, chevalier de Saint-Louis, major au régiment de Rohan-Rochefort et de Louise-Josèphine-Jeanne-Thérèse baronne Bonaert (Ypres, 1745 - Arras, 14 janvier 1825), sa seconde femme (inhumée au cimetière d’Arras). Elle fut inhumée au cimetière d’Arras. De ce mariage naquirent trois enfants : Boudart : « d’azur au croissant d’or accompagné de trois coquilles d’argent, 2 et 1. » Bonaert : « d’azur à la face d’or accompagné de deux étoiles (6 rais) et d’un croissant de même. »
A. Louise-Sidonie (Arras, 12 fructidor an II - Arras, 11 janvier 1868). Sans alliance. Elle vivait à Arras, en son hôtel de la rue des Trois Faucilles, ancien hôtel Imbert. Elle fut inhumée à Arras.
B. Edouard-Anatole (Arras, 10 avril 1805 - Arras, 19 septembre 1873) (enterré au cimetière d’Arras), épousa le 2 mai 1832 à Boulogne-sur-Mer Hermine-Marie du Blaisel du Rieu (Hesdin l’Abbé, 1812 - Arras, 29 août 1893) (enterrée au cimetière d’Arras), fille de Louis-Charles-François, écuyer, colonel de Dragons, chevalier de Saint-Louis, et d’Agathe Moullart de Torcy. De ce mariage naquirent :
a. Louise-Marie-Léontine (1832 ou 1833 ou 1835 - Amiens, 15 mars 1904), épousa en 1855 Joseph-Octave du Crocquet, comte de Guyencourt (v.1828-Amiens, 5 septembre 1894), fils d’Antoine-Octave et d’Eulalie Fouache d’Halloy. Elle est inhumée au cimetière de La Madeleine. Postérité :
*. Antoine-Robert (Amiens, 1856 – Cannes, 27 janvier 1927), président d’honneur des Antiquaires de Picardie, époux (Luc-sur-Mer, 14 février 1906) de Jeanne-Marie-Charlotte de Mathan, fille du marquis Georges-François et de Louise-Marie-Charlotte Godart de Belbeuf. Postérité : · Anne-Marie (Amiens, 9 novembre 1906 - Cannes, 3 mars 1926). · Louise (Amiens, 1er avril 1908) épouse le 22 décembre 1929 Jean Morel baron de Foucaucourt. · Marguerite-Marie-Charlotte (jumelle avec Octave, qui suit) (Amiens, 1er août 1911). · Octave-Georges-Joseph (Amiens, 1er août 1911).
b. Charles-Octave (Arras, 26 novembre 1834 - Sains-les-Hauteclocque, 20 mai 1891), épousa 1° (Arras, 22 avril 1868) Marie-Albérique-Juliette de Brandt d’Havernas (avril 1848 - Arras, 23 mars1869) (inhumée à Arras), fille d’Edouard-Marie-Augustin et de Clémence-Louise-Virginie de Calonne d’Avesnes et 2° (Amiens, 18 février 1873) Marie-Henriette-Valentine Malet de Coupigny (15 juillet 1851-château de Sains, 6 septembre 1897), fille du comte Gustave-Marie-François et de Jeanne-Marie-Henriette Jourdain de Thieulloy. Pierre tombale de Charles-Octave Le Caron de Canettemont et Valentine Malet de Coupigny, contre le chœur de l’église de Hauteclocque. Postérité :
*. (du premier mariage) Amélie-Marie-Sidonie, mort-né (1869-1869)(enterrée au cimetière d’Arras). *. (du second mariage) Joseph (Sains, 19 mars 1886 - Paris (78, rue de Maistre, XVIIIe), 2 août 1929), épousa à Hermaville le 10 novembre 1908 Claire-Marie-Louise-Geneviève de Salignac de La Mothe Fénelon (Saint-Omer, 15 janvier 1890 - Sceaux, 14 avril 1941), fille du baron Henri-Marie-Raymond-Pierre, ancien capitaine au 21e Dragons, officier d’ordonnance du général de France (son beau-père), et de Gabrielle de France. Le père d’Henri de Salignac de La Mothe Fénelon, Anatole, avait épousé Alexandrine-Louise-Amélie Randon, fille du maréchal. Le divorce fut prononcé par le tribunal civil de la Seine en février 1924. Joseph, inspecteur d’assurances, épousa en secondes noces Suzanne-Marie-Camille Mura, fille de Charles-Octave et de Valentine Malet de Coupigny. Dont postérité. Claire épousa en secondes noces le 24 janvier 1925 (Paris, VIIe) Edouard Chauvot, employé d’agent de change. Sans postérité.
Postérité : · Valentine-Marie-Gabrielle-Henriette (Sains, 26 août 1909 - Guischard (Oise), 15 mars 1977). Elle épousa le 8 août 1928 à Ljubljana Erwin Adamovich (Vienne (Autriche), 2 décembre 1893 - Ljubljana, 22 décembre 1940), ingénieur forestier. Sans postérité.
· Henri-Marie-Gabriel (Sains-les-Hauteclocque, 21 novembre 1911-Rouen, 3 mars 1996), capitaine de spahis, chevalier de la légion d’honneur, croix de guerre 1939-1945, épousa le 18 avril 1942 à Rabat (Maroc) Gabrielle-Angèle-Annunciade Serpaggi (Rabat, 1er janvier 1923-Caen, 2 novembre 1983), fille de Jean-Toussaint, fonctionnaire au Maroc, et de Marie-Victoire Carlotti. Henri hérita de son oncle Henri a légué la ferme de Canettemont. Dont postérité : · Claire (Rabat, 25 octobre 1943), épouse d’Yves Poullot. · Elisabeth (Mecknes, 24 avril 1946), épouse de Sylvain Poullot. · Hervé (Poitiers, 12 décembre 1949).
· Marie-Marguerite-Thérèse (Sains, 22 mars 1912-Nancy, 4 septembre 1987), épousa le 25 juillet 1938 (Paris, VIIe) Roger Gouraud (Selles-sur-Plaine (Vosges), 22 juillet 1905-Laxou (Meurthe-et-Moselle, 29 novembre 1991), ingénieur ECP, fils d’Auguste-Firmin-Pierre et de Josephe-Marie-Madeleine Cartier-Bresson.
· Elisabeth-Marie-Charlotte (Sains, 30 janvier 1914-Neuilly-sur-Seine, 12 avril 1993), inhumée à Hermaville le lendemain, chargée du protocole à l’ambassade des Etats-Unis.
· Gabrielle-Bernadette-Marie-Rose-Jacqueline (Paris, VIIe, 17 juin 1921), épousa le 10 décembre 1943 (Paris, VIIe) Etienne Gilles-Deperrière de Villaret, ingénieur ECP (Angers, 17 juillet 1918), fils d’André et de Louise-Guillemette-Juliette de Villaret. Dont postérité.
c. Marie-Mélanie-Jeanne-Thérèse (Arras, 6 juin 1836 - Boulogne-sur-Mer, 14 avril 1893), épouse le 25 juin 1861 à Sains-les-Hauteclocque Gustave-Amédée baron de Fresnoye ( ? – 1899). Postérité :
*. Hélène-Zoé-Marie ( ? - 20 janvier 1891), sans alliance. *. Valentine-Marie-Eugénie (1865 – Berlencourt Le Cauroy, 1919), épouse (1892) de Marie-Charles-Joseph-Georges van Cappel de Prémont (1861-1920), fils de Louis-Charles-Anatole et de Clotilde-Marie-Félicité de Brandt de Galametz. Postérité :
· Marie-Charlotte-Valentine (19 juin 1893 - ?), épouse (1913) d’Omer-Louis-Marie-Charles-Hervé comte de Kergorlay (1880 - ?), officier de marine, fils de Marie-Christian-Hervé et de Geneviève-Jacqueline-Marie-Sidonie de Beauffort. Postérité :
- Colette-Christiane-Valentine-Marie (Berlencourt le Cauroy, 13 août 1914) épouse en 1938 Jean-Louis van der Cruisse de Waziers. - Geneviève-Georgette-Marie (Londres, 29 févirer 1916) épousa en 1943 Arnould van der Cruisse de Waziers. Dont une fille : Hermine.
*. Berthe-Louise-Marie (1874 - ?) épouse (21 août 1894) de Roger-Marie-Charles-Alexandre de Tourtier (23 mars 1861 - ?), fils de Julien et de Charlotte du Mons d’Hédicourt. Postérité : · Gérard (Saint-Sauveur (Somme), 1895 - ?) épouse ne 1930 N… de Chérisey. · Hélène (Saint-Sauveur (Somme), 21 octobre 1897 - ?), épouse (1921) de Robert Creton de Limerville (5 février 1896 - ?), croix de guerre. Dont postérité (Michel (1922), Christiane (1924), Solange (1925)). · Adrien, époux (1908) d’Herminie de Roissart.
d. Louise-Adrienne (1841- Arras, 10 mars 1901), sans alliance. e. Henri-Joseph (1853- Arras, 10 avril 1924), sans alliance.
C. Clémence-Charlotte (Arras, 23 mars 1809 - Arras, 15 novembre 1889) (enterrée au cimetière d’Arras), épouse en 1833 Jean-Louis-Felix-Ghislain baron Bonaert (1787-1867). Sans postérité.
6. Marie-Antoinette-Louise, née le 5 septembre 1741 et baptisée en l’église Saint-Sépulcre de Saint-Omer le 6. Elle eut pour parrain Louis-Joseph Werbier, seigneur du Hamel, grand bailli d’Aire, son oncle à la mode de Bretagne, et pour marraine Marie-Thérèse Gaillard, épouse de Jacques-François Doresmieulx, écuyer, seigneur de Fouquières, son cousin, au nom de Marie-Antoinette Dupuich, épouse de Paul-François Boucquel, chevalier, seigneur de Warlus, sa grand-tante du côté maternel. Elle mourut le 14 août 1753 en la maison d’éducation du Jardin Notre-Dame à Aire et fut enterrée en l’église Saint-Pierre dans la chapelle de Saint-Liévin.
7. Louis-Jean-Jacques, né le 15 novembre 1742 et baptisé le 16 en l’église Saint-Sépulcre de Saint-Omer. Il eut pour parrain Antoine-Louis-Joseph Damiens, écuyer, seigneur de Waringhem, son oncle à la mode de Bretagne du côté maternel, et pour marraine Marie-Françoise de Vos, épouse d'Etienne de Bailleul, écuyer, seigneur d’Angerville, lieutenant-colonel au régiment de Royal-Comtois, sa tante à la mode de Bretagne du côté paternel. Il mourut au château de Laprée le 11 septembre 1749 d’une petite vérole rentrée et fut enterré auprès de sa mère dans l’église paroissiale de Quiestède.
8. Charles-Joseph-Jean-Jacques, né au château de Laprée le 11 septembre 1745 et baptisé en l’église de Quiestède le lendemain. Il eut pour parrain Antoien-François-Joseph Dupuich, écuyer, seigneur de Mesplau, capitaine au régiment de la Vieille-Marine, son oncle du côté paternel, et pour marraine Marie-Joseph-Charlotte de Lencquesaing qui devait épouser six ans plus tard Etienne Chevalier, brigadier des armées du roi et commandant du fort Saint-François-lez-Aire, sa tante à la mode de Bretagne du côté paternel. Il mourut le 8 novembre 1748 à Saint-Omer chez sa tante Marie-Anne-Louise de Lencquesaing, veuve de Maximilien-Joseph Depan, écuyer, seigneur de Wisques. Il fut enterré le lendemain en l’église Saint-Denis de Saint-Omer. « Que Dieu veuille en faire un parfait chrétien » et « Que Dieu en soit louer c’est un ange en paradis », écrit son père sur le livre de raison.
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Dominique-Jean-Jacques de Lencquesaing et Marie-Joseph-Eugénie Dupuich. |
Château de Sains. |